Il y a trop d’eau souterraine au Burkina et l’hydrogéologie peut permettre le développement agricole

Après ses études à l’Université de Ouagadougou (2ans pour le DEUG), à l’Université d’Abidjan (2ans pour la maitrise), l’Université de Montpellier (DEA), l’Université de Grenoble (pour la thèse dont une partie à l’Université de Québec), il intègre l’Université de Ouagadougou en tant qu’enseignant-chercheur où il a porté tous les grades possibles.

Le professeur Samuel NAKOLENDOUSSE, puisque c’est de lui qu’il s’agit est une icône dans son domaine de spécialité à savoir l’hydrogéologie.
Discret, Humble, méthodique, perfectionniste pour ceux qui le connaissent, le professeur NAKOLENDOUSSE n’est pas un habitué des projecteurs des médias.

Pour l’une des rares fois il s’ouvre à Géo-Canal-Info. Il revient sur son domaine son parcours académique et son expérience professionnel et jette un regard scientifique sur l’avenir du secteur de l’eau au Burkina.

Il est notre invité du tout premier numéro de notre émission « Au cœur des chercheurs géo-scientifiques. »

Suivez l’entretien en intégralité :

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